Les poèmes de la nature ils sont assez communs, le monde naturel a été l'un des thèmes récurrents de la poésie. C'est souvent le thème principal à chaque époque et dans chaque pays.
Les poètes aiment décrire le monde naturel; Ses paysages variés, les saisons changeantes et les phénomènes qui l'entourent, entre autres, ont été une partie importante de l'histoire de la poésie..
Voici une liste de ces types de poèmes:
Parler de toi, c'était toujours facile,
tu es venu vers moi avec tes vagues pour faire mes rêves,
saluer mon âme pour allonger les jours,
tout bleu, tout propriétaire, toute l'eau partout,
un bloc infini de poissons et de coraux.
Connaître ses voies était simple,
pour te trouver il suffisait d'aller au bord de la maison,
Et tu étais là, à chaque coin,
chaque point cardinal vous avait brodé au nom,
c'est pourquoi je n'ai pas fini de te nommer.
Le quotidien
-la voix quotidienne normale pour ceux d'entre nous qui vous connaissaient,
que nous vous vivons depuis le début-,
parlait de la mer.
Je te vois de la maison,
vert, jaune, feuillu,
Je te vois et j'ai hâte
de ton fruit entre les braises.
Et c'est ça, avec du beurre ou de la graisse,
que ce soit des épis, du maïs ou du maïs
-n'importe quel nom, c'est ta nuance,
votre saveur particulière,
Comment ne pas vous aimer
donner le flocon à la racine?
Combien de personnes se nourrissent
grâce à votre noble fruit?,
ton pouvoir je ne conteste pas,
tout va bien à propos de ton commentaire.
Les jardins sont bien aménagés
vous avoir semé,
la charrue devient facile,
tu es noble, oh champ de maïs,
du monde tu es le sel,
son cœur enchanté.
je
Vous êtes une noble dame verte,
lumière de chaque être et de chaque chose,
tu es dans la rivière, dans la rose,
en toi la vue est perdue.
II
Vos chemins nous apprennent
à propos de Dieu et de la création,
et c'est que tu es chanson
de tous ceux qui rêvent.
III
Allez à votre rencontre tous les jours
permet d'élargir les connaissances,
tu es facile à aimer
et tu apportes toujours de la joie.
IV
C'est ta nature,
air, terre, mer et ciel,
vers de feu dans lequel je vole,
racine royale de richesse.
V
N'abandonne pas, ça brille toujours,
contre le sale je t'accompagne,
Je prendrai bien soin de toi chaque année,
sur terre et sur le rivage.
Tu es devenu une habitude,
raison évidente de répit,
la vie invisible qui se faufile en moi,
qui va du poumon au sang
pour que je puisse parcourir les chemins qui me correspondent.
Couleur du silence,
visite du souffle de Dieu dans les êtres,
quand je ne te chercherai plus ce sera tout,
le brouillard sera le chemin et je serai le brouillard,
et il n'y aura ni raison ni corps,
et je deviendrai un avec le tout,
et ce sera toi et moi dans le coin des espaces,
air.
Si je semais en toi, je comprendrais la vie que tu gardes,
pourrait être une épice du tibet,
un grain de l'Espagne immortelle,
un pommier de Patagonie,
des fruits issus de ton pacte avec le soleil et l'eau.
Si j'étais un ver,
le monde vous accompagnerait,
Je chercherais vos secrets les plus cachés dans les minéraux,
J'essaierais de comprendre l'artifice du charbon et du diamant,
J'essaierais tout pour savoir où Dieu t'a eu mec,
et où l'âme des plantes vous est-elle cachée.
Dis ton nom,
Terre,
ose trop et ne sait pas tout.
Tu le fais bouillir à l'intérieur des terres,
coeur de pierres,
nuage secret pour pleurer de l'eau,
manteau invisible du soleil.
Quand tu es arrivé,
la nuit était la coutume,
le cru la nourriture habituelle,
le froid régnait en tout
et il n'y avait de place pour rien d'autre que le tremblement du bleu et de la glace.
Est tu venu? T'es venu,
bien,
sculpter chaque colline,
chaque pierre,
et faire jaillir la pluie,
et les graines ont tiré son corps de la terre,
et ils s'appelaient des arbres,
et le fruit est tombé plus tard,
et l'homme t'avait pour dieu,
feu nécessaire et flamboyant.
Le coyote vous regarde de loin,
le Lynx,
le léopard,
l'homme.
Tout le monde vous cherche pour calmer sa faim,
mais tu es rusé et rapide,
Et tu sais où est l'ombre sur la prairie,
tu connais tous les endroits où le soleil ne brille pas.
Vous êtes agile,
lièvre des terres désolées,
sourire blanc qui saute entre les collines,
cloud agité que tout le monde veut
et qui se cache sous terre à l'aube quand la faim appelle,
et les jeunes ont besoin de vert,
et la vie est rapide,
Tu le sais,
et tu l'as.
Sans toi, l'homme ne pourrait rien faire
tu es le joyau cristallin de la vie
cette soif me calme, le corps prend soin de moi,
et protège mon être de la mort.
Des éléments, tu es le pouvoir,
trésor liquide à celui qui le demande,
ton doux attribut nidifie dans le sang,
ressort qui aide à renforcer.
N'arrête pas de jaillir ta lumière du ciel,
ni laisser la terre triste profonde,
que les hommes t'attendent sur le terrain.
Seulement tu as donné la nature,
l'eau, ton âme divine en vol bleu,
sous la pluie que tout aime et en bien persiste.
je
Tu vas et viens, blanc et gris,
souffle du ciel ailé,
tu ouvres tes coffres au sol
donner de l'eau sur la charrue.
II
Éponge tu es à la hauteur,
ombre joyeuse au marcheur,
rêve pur qui me guérit,
figure de danse faible.
III
La pluie que tu donnes aux plantes
pour qu'ils puissent grandir,
ce sont des larmes saintes
à quelle profondeur jaillit de ton être.
IV
Les enfants vous recherchent toujours
deviner des chiffres,
tu pars, tu changes, avec deux clins d'œil,
te transformer en folie.
V
Beau nuage, beau nuage,
n'arrête jamais d'être,
il pleut toujours sur la rose,
sur terre et dans la mer.
je
Tu te lèves très tôt,
et le matin vient à toi,
dans ta lumière tout est gagné,
soleil divin, ami, frère.
Merci d'avoir contacté
et donnez-nous de la clarté
à toute l'humanité,
chaque heure, chaque jour,
tu t'éclaires de joie
dans toutes les ténèbres.
II
Que serait-ce, soleil, de nous
sans ta véritable lueur?,
Sans ta chaleur pure et fine
qui ne ressemble pas aux autres?
Les poulains seraient fous,
et tous les animaux,
les chatons, les chacals,
les mouettes et les chiens,
on ne verrait pas les collines,
nous souffririons mille maux.
je
Ils sont les propriétaires du ciel,
anges en haut,
ce sont des figures majestueuses
qu'ils tombent amoureux de leurs vols
et ils guérissent même la folie.
II
Ils dansent comme ils volent,
ils volent en dansant,
sur le paysage qu'ils lancent,
ils se faufilent dans le regard
et le cœur atteint.
III
Soyez des mouettes, des fous de Bassan,
ou les faucons pèlerins,
beaux faisans volants,
ou les aigles intelligents,
comme sont beaux leurs trilles.
IV
Les voir apprivoiser le vent haut
invite à la réflexion,
donne mon inspiration à mon stylo,
pour capturer ce que je ressens,
acclamer le coeur.
je
Ils volent sous l'eau,
ils dansent à la frontière,
sa joie n'a pas de fin,
ils ne s'arrêtent pas une seconde;
leurs nageoires ne cessent jamais
nager d'un côté à l'autre,
ils ont la force d'un poulain,
les propriétaires sont de la mer profonde.
II
Il y a dans les rivières, les lacs, les mers,
on les trouve même dans les rêves,
grand, moyen et petit,
couleurs étonnantes;
leurs formes varient aussi,
gras, maigre, aplati,
abondent partout,
même sur les sols boueux.
La lumière danse entre ses pétales, baignant le monde de couleur;
le chemin,
solitaire,
elle se couvre de beauté avec un seul.
Sa présence est source de joies et de désirs,
ils sont quand la vie visite,
aussi quand il part,
ils sont là où le blessé se plaint,
où l'amour pousse,
entre le trottoir,
sur les murs moisis,
et chacun d'eux,
chaque petite silhouette,
donner une raison,
pour des moments,
à la vie.
Votre séjour est court,
mais le sens de votre démarche peut être aussi sublime que le plus grand sentiment,
tout dépend de l'homme,
de l'œil qui la regarde,
du cœur qui avec eux se rend.
Tu donnes raison à la lune,
nuit sombre et silencieuse,
ta présence va et s'assied
dans les montagnes et dans la dune.
Comme toi, il n'y a personne,
ton mystère inspire l'homme,
il n'y a pas un jour qui ne surprend pas
le sentiment que tu es arrivé
et que tu as tout rempli
avec le noir de ton nom.
II
Tu es la clarté
du monde et de ses confins,
tu viens avec la crinière d'or
et tu allumes l'humanité.
Chaque ville et ville
vous doit l'éclat,
aussi la pure candeur
Que grilles-tu, jour bien-aimé,
tu es lumière et joie,
offrande d'un grand amour.
Poumon vert,
poumon de ma terre,
racine profonde avec laquelle respire la Pachamama,
des arbres,
Merci.
Dieux denses,
calmer,
des troncs doublés qui donnent raison à la forêt;
maisons de feuilles qui abritent tant de vie,
veines du monde,
Merci.
On leur doit l'air pur,
la lame du poète,
l'ombre dans laquelle l'homme se repose du travail,
et le garçon,
et la femme,
et l'animal;
on leur doit le fruit et la nourriture de la nourriture,
l'existence de tout être vivant,
merci infiniment d'être.
Je voudrais vous honorer comme il se doit,
de la racine à la couronne,
chaque branche tissée,
chaque mousse pliée ...
Le jour où le dernier part,
il n'y aura rien,
et beaucoup ne comprennent pas,
Et peut-être que quand ils le feront, il sera trop tard.
je
Géants immémoriaux
d'un vert élégant et noble,
la vue en eux est perdue,
sous leurs formes célestes.
Le Saint Graal jaillit d'eux,
rivières pleines de richesses,
Ce sont les reines, ce sont des altesses
de la terre entièrement,
comme c'est beau de voir en premier
au réveil de ses beautés.
II
Ils sont la couronne dans les paysages
des peuples du monde,
germé des profondeurs
avec ses ancrages très fermes.
Montagnes des lieux,
merci de donner de la nourriture,
pour prendre soin du vent fort,
nous leur devons un abri,
donner refuge au père, au fils,
désolé pour le mal, désolé.
je
Avec toi la vie vient
dans le désert avant de perdre,
pleurer du ciel,
sourire qui arrose tout
et applaudit le nid le plus sec.
II
Tu es né dans la mer, la rivière,
ou le lac quand le soleil frappe
et avec ses rayons se déploie
chaleur, parer au froid:
la vapeur part et atteint le ciel.
III
Pour vous les germes de graines,
la vache apaise la soif,
merci la pluie pour toi,
pour chaque goutte de liquide
qui donne vie au sol.
Élément fondateur,
les nations s'élèvent au-dessus de vous;
substance ferme,
squelette de la terre,
bloc unique de la maison primitive.
Si je te fais face contre toi,
l'étincelle arrive,
puis le feu jaillit,
et la nuit a été résolue,
et l'estomac ne dormira plus vide.
Si je te mets sur toi,
un mur se lève,
et un autre, et un autre, et un autre,
la paume vient et se couvre de la pluie,
et puis nous avons un abri et du repos.
Si je te prends et te donne un avantage,
Je dois chasser et me nourrir,
et faire des robes
et autres choses.
La pierre, élément fondamental,
l'homme apprécie ta présence.
je
Terrasse de dame verte
chaque endroit de la planète,
dans chaque espace, chaque fissure,
ta présence coule toujours.
II
Tu es une mère, Pachamama,
doux, attentionné, compréhensif,
tu es la flamme vivante
auquel la vie crie.
III
Pour toi les montagnes arrivent,
les rivières, les cieux, les mers,
tous les saints autels,
depuis que vous baignez tout.
IV
Nature, mystère
les pierres gardent ton nom,
secret tu es pour l'homme,
vous et votre vaste vaste empire.
V
Merci pour cette existence,
Dame verte, fleur divine,
oiseau de lumière qui trille
dans chaque être et chaque essence.
je
De la mer, c'est le cœur
qui bat profondément dans la mousse blanche,
et se faufile dans la brume
donner à l'eau son assaisonnement.
Entré avec une intention,
la saveur de la vie,
sans cela il n'y a pas besoin de demander
qui a bon goût et avec plaisir,
ta présence donne la foire,
le point de toute nourriture.
II
Sel de mer ou de lagon,
sors béni es-tu pour Dieu,
et il n'y en a pas deux comme toi,
toujours bon et opportun.
Tu es là, du berceau,
dans notre sang actuel,
dans chaque plat présent
plaire au palais.
Comment ne pas vous aimer?,
Si tu fais partie de mon peuple!
Voyez-vous ces mains? Avoir mesuré
la terre, ils se sont séparés
minéraux et céréales,
ils ont fait la paix et la guerre,
ils ont réduit les distances
de toutes les mers et rivières,
et encore
combien ils vous voyagent
à toi, petite,
grain de blé, alouette,
ils n'atteignent pas pour vous couvrir,
se fatiguer à atteindre
pigeons jumeaux
qui reposent ou volent sur ta poitrine,
ils parcourent les distances de tes jambes,
ils roulent à la lumière de ta taille.
Pour moi tu es le trésor le plus chargé
d'immensité que la mer et ses amas
Et tu es blanc et bleu et longtemps comme
la terre dans le millésime.
Dans ce territoire,
de tes pieds à ton front,
marcher, marcher, marcher,
Je passerai ma vie.
C'est-la Mère la plus douce -Nature.
Aucun enfant ne l'irrite-
Le plus faible ou le plus volontaire-
Votre doux avertissement-
Hé le voyageur dans la forêt-
Sur la colline
Oiseau bavard ou écureuil rampant-
Contenu-
Un après-midi d'été-
Dans sa maison, quand le soleil se couche-
Son discours est agréable-
Votre entreprise-
Sa voix dans le couloir s'enflamme
La prière des fleurs-
Timide-la prière
Du petit grillon-
Quand tous les fils dorment-
Elle s'en va juste
Pour allumer ses lampes-
Suspendu dans le ciel-
Avec amour-
et un soin infini-
Son doigt d'or sur sa lèvre-
Ordres-Partout-il Silence
Soudain, une voix s'éleva / des brindilles nues au-dessus / dans une chanson passionnée de l'après-midi / d'une joie sans bornes; / un vieux gris, faible, maigre et petit / aux plumes ébouriffées par le vent, / avait décidé de jeter son âme / dans l'obscurité grandissante./ Quelle petite raison pour les chants de Noël / d'un son si extatique, / écrit sur des choses terrestres, / loin ou près, autour, / que je pourrais penser qu'il tremblait / avec sa chanson de "happy Christmas Eve" / un espoir béni qu'il savait / et que je ne savais pas. "
Ils ont fermé la route à travers la forêt
il y a soixante-dix ans.
Mauvais temps, pluie, ils l'ont effacé.
Et maintenant personne ne dirait qu'une fois,
avant que les arbres ne prennent racine, même,
il y avait une route ici, à travers la forêt.
C'est sous la bruyère et les anémones,
les buissons le recouvrent;
et seul le vieil homme sauve
sait que, là où les pigeons nichent
et le blaireau remue, il y avait un moyen
qui a traversé la forêt.
Mais si tu y vas
en été, déjà tard, quand l'air
la nuit se rafraîchit dans les étangs
où nagent la truite et la loutre
ils appellent leurs partenaires sans peur des hommes
qu'ils n'ont jamais vu,
vous entendrez -si vous y allez- le trot d'un cheval
et le pinceau d'une jupe sur les feuilles humides
faire un chemin
à travers le noir, comme
s'ils savaient, ils,
le chemin à travers la forêt,
maintenant que ce chemin n'existe plus
qui a traversé la forêt.
Mettre par écrit tout ce que je contiens en ce moment
Je viderais le désert à travers un sablier,
la mer à travers un sablier,
goutte à goutte et grain par grain
Aux mers impénétrables et incommensurables et aux sables mutables libérés.
Parce que les jours et les nuits de la terre s'écroulent sur moi
les marées et le sable me traversent,
Et je n'ai que deux mains et un cœur pour tenir le désert
et à la mer.
S'il s'enfuit et m'esquive, que puis-je retenir?
Les marées m'emportent
le désert glisse sous mes pieds.
Saison des brumes et des saisons fructueuses,
collaboratrice intime d'un soleil déjà mûr,
conspirer avec lui comment remplir de fruits
et bénis les vignes qui traversent les clôtures,
pliez les arbres du verger avec des pommes
et remplissez tous les fruits d'une maturité profonde;
noisettes gonflées à la citrouille et dodues
avec un intérieur doux; tu pousses tard
et de nombreuses fleurs jusqu'aux abeilles
les jours chauds croient sans fin
parce que l'été déborde de leurs cellules visqueuses.
Qui ne vous a pas vu au milieu de vos biens?
Celui qui te cherche doit te trouver
assis négligemment dans une grange
cheveux doucement ventilés,
ou dans un sillon non récolté, plongé dans un sommeil profond
sucer des coquelicots, pendant que ta faucille respecte
la prochaine gerbe de fleurs entrelacées;
ou tu restes ferme comme un glaneur
tête chargée lors de la traversée d'un ruisseau,
ou à côté d'un pressoir avec un regard patient
vous voyez le dernier cidre suinter heure après heure.
Où avec ses chansons est le printemps?
Ne pense plus à eux mais à ta propre musique.
Quand le jour entre les nuages s'évanouit et s'épanouit
et teint le chaume d'une teinte rose,
Quel pitoyable choeur les moustiques se plaignent
Dans les saules de la rivière, élevés, descendants
comme le vent léger se rallume ou meurt;
Et les agneaux se balancent sur les collines,
les grillons dans la haie chantent, et le merle
d'une douce voix de tiple il siffle dans un verger
et des volées d'hirondelles gazouillent dans les cieux.
J'ai souhaité qu'un oiseau s'éloigne
Avec sa chanson monotone du seuil de ma maison.
De la porte j'ai battu des mains
Quand je pensais que je n'en pouvais plus.
En partie ça a dû être ma faute.
Le mal n'était pas de l'oiseau avec sa musique.
Et au fait il doit y avoir une erreur
En voulant faire taire n'importe quelle chanson.
Une souris des champs, tirée de son terrier avec une charrue
Petite bête acculée, soyeuse et effrayante Quelle grande panique il y a dans ta poitrine! Tu n'as pas à t'enfuir si vite, avec tant de bruit Je ne veux pas courir après toi avec une houe homicide. Je sens vraiment que le domaine de l'homme A rompu le pacte que la nature établit, et justifier la fausse opinion Qu'est-ce qui vous fait paraître abasourdi pauvre garçon né de la terre. Et tout aussi mortel. Je ne doute pas, cependant, qu'il soit possible que vous voliez Qu'importe, pauvre créature, tu dois vivre! Un pic occasionnel d'une gerbe c'est un petit semblant. Je serai content du reste Et je ne le manquerai pas! De ta petite maison, aussi en ruines, ses murs fragiles les vents se dispersent Et il n'y a pas, maintenant, de construire un nouveau, Herbe fraîchement coupée! Et les misérables vents de décembre arrivent, aussi grave que vivant! Toi qui as vu les champs restés nus et stériles Et comment le rude hiver se passait Et ici, au chaud, à l'abri de la tempête Tu pensais que tu resterais jusqu'à ce que le paysan cruel soit passé et déchiré ton abri. Ce petit tas de feuilles et de branches ça t'avait coûté quelques rongements exténuants Maintenant ils t'ont quitté, après tous tes efforts Pas de maison ou de maison Pour supporter les averses ruisselantes de l'hiver Et la rosée froide du matin.À toi pomme,
je veux
te célébrer
me remplir
avec ton nom
la bouche,
vous manger.
Toujours
tu es nouveau comme rien
ou personne,
toujours
juste tombé
du paradis:
plein
et pur
joue rouge
de l'aurore!
Un vent est venu comme un clairon-
Parmi l'herbe, il tremblait
Et un frisson vert sur la brûlure
tombé si inquiétant
Que nous fermons les fenêtres et les portes
À une sorte de fantôme d'émeraude-
Le mocassin électrique de Hado
C'est arrivé à ce moment précis-
Dans une étrange course d'arbres haletants
Les murs ont fui
Et les maisons coulaient dans les rivières
C'est ce que ceux qui ont vécu ont vu - ce jour-là-
Fou dans le clocher
Les nouvelles ailées ont dit-
Combien peut aller et venir et - néanmoins - le monde reste!
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