"Nous ne sommes pas affectés par ce qui nous arrive mais par ce que nous pensons de ce qui nous arrive", parfois les mêmes événements peuvent affecter les gens de manière très différente.
Chaque fois que nous entamons le dialogue interne avant un événement, nous générons déjà une émotion.
Dans le dialogue interne se trouve tout le jeu de la force émotionnelle. Je ne veux pas aborder cela de la psychologie positive, ce serait se répéter que tout va bien.
Répéter encore et encore que tout va bien n'aide pas beaucoup, il vaut mieux se convaincre que ce qui se passe n'est pas si mal / terrible / horrible. Notre réseau de neurones forme un système merveilleux qui nous permet d'étudier le monde et de le vivre, mais il est pratique de connaître ses limites. Nous avons cet outil précisément pour expérimenter la réalité, pas tant pour la filtrer par la pensée.
Quand on se sent mal, on se dit souvent "Je suis mal, je devrais faire ceci et cela pour me sentir mieux ... Que pourrais-je faire pour être meilleur?" Et c'est à ce moment-là que nous commençons à jouer avec nous-mêmes. La première clé est de se calmer.
le rumination peut être produit par de nombreux déclencheurs: ongle discussion avec un parent, un erreur au travail, un examen qu'on ne sait pas comment ça s'est passé, un peu revers... bref c'est un événement qui peut-être nou avons-nous pu traiter et donc je sais maintient dans nos pensées.
La réflexion excessive est un processus qui génère une usure mentale considérable. Si nous changeons notre façon de penser, un monde de possibilités s'ouvre, nous devons faire les choses sans pression. Si nous réduisons la pression sur nous-mêmes et sur les autres, nous pourrons avoir une vie tranquille, en regardant ce que nous avons et ce que nous pouvons faire et non ce que nous n'avons pas et ce que nous ne pouvons pas faire. C'est là que nous pouvons profiter.
Changer notre dialogue interne est une question de persévérance. Par conséquent, la clé est dans:
Lorsque nous nous perdons à fantasmer sur ce qui pourrait arriver, ce qui va se passer ou ce qui s'est passé, nous nous sentons emprisonnés, car nous n'avons aucune capacité d'action. Par contre, on peut agir sur le présent, sur ce moment précis.
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