La Échelle de coma de Glasgow c'est l'un des outils d'observation les plus populaires en analyse neurologique. Son application est répandue dans le monde entier grâce à ses particularités et c'est pourquoi aujourd'hui nous voulons vous dire ce que le Échelle de coma de Glasgow, quelle est son histoire et certaines de ses caractéristiques les plus importantes.
La Échelle de coma de Glasgow également connu sous son acronyme en anglais GCS est un outil couramment utilisé pour évaluer le degré de conscience d'un patient après un accident.
Cet outil est associé à l'application neurologique, il est appliqué en fonction de 3 paramètres fondamentaux, à savoir: Réponse motrice, réponse verbale et réponse oculaire.
Compte tenu de la zone de réponse à évaluer, certaines procédures sont effectuées pour analyser l'état du patient par rapport à chaque composant. L'application se fait généralement comme suit:
6. Obéir aux ordres
5. Localisation de la douleur
4. Retrait et pliage
3. Flexion anormale
2. Extension
1. Aucun type de réponse
5. Il parle et est orienté
4. Il parle mais est désorienté
3. Utilisez des mots inappropriés
2. Utilisez des sons inintelligibles
1. Aucun type de réponse
4. Réponse spontanée
3. Réponse lorsque vous lui parlez
2. Réponse à la douleur
1. Sans aucune réponse
Cet outil est appliqué en cas de patients traumatisés crâniens , et cela doit être fait rapidement et objectivement.
Par objectif, nous voulons dire que l'évaluateur doit éviter de faire le tour du pot, c'est-à-dire qu'il ne peut pas tomber dans des subjectivités telles que dire que le patient est somnolent, stupide ou inconscient, car ce sont des opinions qui ne permettent pas au patient d'être évalué efficacement à l'intérieur. leur processus.
Compte tenu des ambiguïtés auxquelles ce qui précède peut tomber, l'échelle de Glasgow Como a été institutionnalisée, afin de surveiller efficacement la vie des patients..
Comme nous l'avons mentionné précédemment, l'échelle de Glasgow utilise 3 paramètres fondamentaux qui font référence à la réponse motrice, la réponse oculaire et la réponse verbale. Tous à leur tour, ont des sous-catégories qui permettent de déterminer plus efficacement l'état du patient.
Le score minimum est de 3 et le score maximum est de 15. C'est le résultat de la somme des valeurs de chaque catégorie. L'idée est que l'évaluateur décompose chaque section puis référence la meilleure réponse obtenue. Ensuite, le résultat de chacun des composants doit être ajouté, et ce sera le nombre qui déterminera le score.
Concernant l'évolution, l'échelle de Glasgow doit être appliquée de manière cohérente pendant des intervalles bien déterminés, afin de voir l'évolution du patient après l'accident, et ainsi pouvoir prendre les mesures nécessaires à chaque étape du processus.
Après avoir effectué cette procédure systématiquement, l'évaluateur peut être clair sur l'état de conscience du patient et créer un prévision initiale. De la même manière, en fonction des résultats, vous pouvez déterminer quelles sont les procédures ou traitements à suivre..
L'échelle de coma de Glasgow a été créée par deux neurochirurgiens anglais nommés Graham Teasdale et Bryan Jennett. La présentation de The Scale a été publiée en 1974 dans la revue britannique "The Lancet", à travers un article publié intitulé "Evaluation du coma et des troubles de la conscience. Une échelle pratique", qui se traduit par "Évaluation du coma et de l'état de conscience altéré. Une échelle pratique".
Initialement, l'échelle de Glasgow a été conçue pour évaluer avec une somme maximale de 14 points. Puis, en 1976, la posture de décortication ou de flexion anormale a été ajoutée dans la catégorie motrice, pour rester à 15 points telle qu'utilisée aujourd'hui.
À notre époque, en plus d'utiliser l'échelle pour évaluer le niveau de conscience chez les patients ayant subi des traumatismes crâniens, son application a été étendue à d'autres domaines où se trouvent des patients atteints de maladies aiguës.
Parmi les patients les plus généralisés sont ceux qui sont en unité de soins intensifs, il est également appliqué chez les patients confus dans les zones gériatriques et en général dans les services d'urgence où sont traités des patients présentant des coups forts ou des symptômes de confusion.
Comme tous les outils de diagnostic, la GCS continue d'évoluer et son utilisation se perfectionne pour apporter les améliorations nécessaires et bien mieux adaptées aux patients, à travers les constatations trouvées par les évaluateurs dans les moments d'observation..
D'après ce que vous avez lu jusqu'à présent, je pense qu'il est plus qu'évident que le L'échelle de coma de Glasgow est un outil de diagnostic très utile.
D'une part, son utilisation en temps opportun dans le cadre de protocoles de soins traumatologiques peut aider à diagnostiquer l'état réel des patients et ainsi déterminer les procédures de soins qui peuvent non seulement aider, mais même sauver la vie des patients..
Bien que certains patients deviennent un défi pour le personnel de santé, la structure de l'échelle permet de réduire les marges d'erreurs lors du diagnostic..
La application de l'échelle de Glasgow C'est extrêmement simple et pour cette raison, il n'est pas nécessaire que le personnel médical ait un haut degré de spécialisation pour l'appliquer à ses patients..
Son efficacité a été prouvée à bien des égards, en fait l'une des conclusions les plus importantes est que le score de traumatisme crânien a servi à déterminer, par exemple, dans quels cas on peut s'attendre à la mort, ou dans quels cas, s'il existe des options de rétablissement, peu importe. la gravité semble être le cas à première vue.
En gros, ce sont les choses les plus importantes que vous devez savoir sur l'échelle de Glasgow. Connaître ces informations est essentiel si vous êtes un professionnel de la santé, car savoir comment manipuler l'outil ou non peut faire la différence.
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