Les 100 meilleures phrases de Pepe Mujica

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Jonah Lester
Les 100 meilleures phrases de Pepe Mujica

Je te laisse le meilleur phrases de José «Pepe» Mujica, sur l'éducation, la liberté, la vie, l'argent, l'amour, le temps, la jeunesse et bien plus encore. Mujica est un politicien uruguayen renommé avec une affiliation de gauche et un passé de guérilla. Il était auparavant ministre de l'Élevage, de l'Agriculture et de la Pêche (2005-2008) et est également devenu président de l'Uruguay de 2010 à 2015.

Mujica était largement accepté et aimé par son peuple pour sa réputation de personne simple, humble et congruente, ainsi que pour son discours généralement éloquent, direct et inspirant. Vous pouvez également être intéressé par ces phrases d'humilité ou celles de leadership.

-Les rêves doivent être combattus pour qu'ils soient moins de rêves et plus de réalité.

-Mieux vivre, ce n'est pas seulement avoir plus, mais être plus heureux.

-L'impossible coûte un peu plus cher, et les vaincus ne sont que ceux qui baissent les bras et se rendent.

-La vie est un miracle. Rien ne vaut plus que la vie.

-N'ayez pas honte de porter les mêmes vêtements, de ne pas avoir de gros téléphone portable ou de rouler dans une vieille voiture. La honte est de faire semblant que tu n'es pas.

-Les pauvres ne sont pas ceux qui ont peu. Ce sont eux qui en veulent beaucoup. Je ne vis pas avec la pauvreté, je vis avec l'austérité, avec le renoncement. J'ai besoin de peu pour vivre.

-Les gens vraiment intelligents sont humbles.

-Il n'y a pas de victoire au coin, il n'y a pas de victoire facile.

-Je ne suis pas pauvre, je suis sobre, bagages légers, vis avec juste assez pour que les choses ne volent pas ma liberté.

-Le vrai nœud du problème est de savoir si vous vivez comme vous le pensez, sinon vous finirez par penser à comment vous vivez..

-La vie nous quitte. Il ne sert à rien de passer sa vie à payer ses factures, à faire le plein de choses.

-La réponse est dans la volonté. C'est comme apprendre à traverser une rue animée sans être heurté par une voiture..

-L'essentiel n'est pas de réussir mais de se relever à chaque chute.

-Passer le plus clair de ma vie sur les choses qui me motivent. Ça s'appelle la liberté.

-La douleur, quand elle ne vous détruit pas, vous fait réfléchir profondément.

-Nous sommes confrontés à un mode de vie sédentaire avec des tapis roulants; à l'insomnie, avec des pilules; à la solitude, avec l'électronique. Est-ce que nous sommes heureux loin de l'humain éternel?

-Les seuls vaincus au monde sont ceux qui arrêtent de se battre, de rêver et de vouloir ... et c'est la différence que la vie humaine a, on peut lui donner du contenu.

-Vous devez apprendre à porter des cicatrices et des sacs à dos pour continuer, regarder en avant.

-L'inévitable n'est pas gémi. L'inévitable doit être affronté.

-Sur terre, la seule addiction qui vaille la peine est celle de l'amour.

-Ne laissez pas les jeunes de l'intérieur être volés. Celui à l'extérieur prend inévitablement du temps.

-Luttez pour le bonheur […]. Il n'y a pas de recette pour cela. C'est ici, en conscience ... si vous utilisez la merveilleuse opportunité de naître, presque miraculeux.

-Pour être heureux, nous avons besoin de la vie des autres. Les individus seuls ne sont rien. Les individus dépendent de la société.

-Vous pouvez aliéner votre vie et la faire acheter au marché, et vous passez toute votre vie à payer des cartes et à acheter des gadgets, […] et à la fin vous ressemblez à un vieil homme comme moi. Vous vous êtes pelé, et qu'avez-vous fait dans ce monde?

-Pour vivre, il faut avoir la liberté. Pour avoir la liberté, il faut avoir du temps.

-Celui qui veut changer le monde sait dans quoi il s'embarque, mais c'est beau d'avoir une cause à vivre.

-Avec cet argent c'est assez pour moi et ça doit m'atteindre, il y a ceux qui vivent avec beaucoup moins.

-Si nous aspirons dans cette humanité à consommer comme un Américain moyen, trois planètes sont essentielles pour pouvoir vivre.

-Les pauvres ne sont pas ceux qui ont peu. Ce sont eux qui en veulent de plus en plus, infiniment plus et ça ne les atteint jamais.

-Il faut avoir le courage de regarder la réalité.

-Il n'y a pas de meilleur langage que la vérité, la ligne courte.

-La vie est un beau combat.

-La dignité, […] est ce qui nous a poussés à réaliser un idéal.

-Deux millions de dollars dans le monde sont consacrés au budget militaire. Dire qu'il n'y a pas d'argent […], dire qu'il n'y a pas de ressources, c'est ne pas avoir honte.

-Les êtres humains sont différents. La nature nous rend semblables mais jamais identiques.

-La vie est un apprentissage continu, et elle est pleine de routes mortes et de piétons. Mais les vieilles causes qui nous ont poussés sont présentes dans le monde dans lequel nous vivons.

-Camarades, rien ne vaut plus que la vie. Luttez pour le bonheur, et le bonheur vous donne du contenu et une direction à la vie, et ne le laisse pas vous être volé.

-Si nous ne pouvons pas changer la société, nous pouvons toujours changer notre comportement.

-La vie, ce n'est pas seulement recevoir, c'est donner. Aussi foutu que tu es, tu as toujours quelque chose à donner.

-Aujourd'hui est le moment de commencer à se battre pour préparer un monde sans frontières.

-Le devoir des jeunes est de lutter pour les changements.

-La liberté est pour que vous puissiez penser différemment, car la liberté n'est pas nécessaire pour être d'accord.

-Si tu veux changer, tu ne peux pas continuer à faire de même.

-Aujourd'hui, l'homme ne gouverne pas les forces qu'ils ont déclenchées, mais les forces qu'il a libérées gouvernent l'homme.

-Nous devons, oui, mâcher beaucoup l'ancien et l'éternel de la vie humaine, avec la science, cette science qui aspire à l'humanité, pas à devenir riche.

-Je ne peux pas réparer le monde, mais je peux dire aux jeunes qui ont la liberté en tête, ne vous laissez pas emporter.

-Oui, je suis fatigué, mais cela ne s'arrête que le jour où ils me prennent dans un tiroir ou quand je suis un vieux lelo.

-Pour construire des choses pour des changements essentiels, il faut construire des outils collectifs […], il faut construire systématiquement, avec patience.

-Je ne dis pas des merveilles, je parle par bon sens. Les choses les plus vitales sont simples.

-La tolérance est requise pour ceux qui sont différents et avec qui nous avons des différences et des désaccords, (...) c'est le fondement de pouvoir vivre ensemble en paix et comprendre que, dans le monde, nous sommes différents.

-Notre monde a besoin de moins d'organisations mondiales, qui servent davantage les chaînes hôtelières, et de plus d'humanité et de science.

-Je suis un compatriote à moitié croisé. Et le seul mérite que j'ai, c'est d'être un peu dur, têtu, adepte, coupant. C'est pourquoi j'ai tenu bon.

-Être sobre dans la consommation des choses, c'est garantir la liberté individuelle et garantir votre chance d'être avec votre douce aventure, amis, enfants. Au final c'est la seule chose qui nous rendra vraiment heureux.

-L'homme, tant qu'il vit dans un climat de guerre, est dans la préhistoire, malgré les nombreux artefacts qu'il peut construire.

-Oui, un monde avec une meilleure humanité est possible. Mais peut-être qu'aujourd'hui la première tâche est de sauver des vies.

-Le socialisme ne peut pas être en contradiction avec la liberté.

-La vie peut vous donner mille trébuchements (…). En amour, au travail, dans l'aventure de ce que vous pensez, et en rêve (…). Mais une et plusieurs fois, vous êtes obligé de vous relever et de recommencer, car l'important est le chemin.

-La vie humaine est un miracle, nous sommes vivants par miracle et rien ne vaut plus que la vie.

-La seule chose qui ne peut pas être achetée est la vie. La vie est gâchée. Et c'est malheureux de passer ta vie à perdre la liberté.

-Le monde que nous aurons sera celui que nous pourrons atteindre.

-La crise écologique de la planète est une conséquence du triomphe écrasant de l'ambition humaine.

-La cupidité qui nous a poussé à domestiquer la science et à la transformer en technologie, nous plonge dans un abîme brumeux, dans une histoire que nous ne connaissons pas, dans un temps sans histoire et nous manquons d'yeux ou d'intelligence collective.

-La vie vous échappe et s'en va, minute par minute […] Alors battez-vous pour la vivre, pour donner du contenu à la vie! […] Vous pouvez être, en termes relatifs, l'auteur du chemin de votre propre vie.

-Nous avons été autorisés à arriver à aujourd'hui, étant conscients des erreurs que nous avons commises. Mais être conscient de la générosité gigantesque avec laquelle nous embrassons la vie.

-Je crois et je suis convaincu que l'homme est capable de construire des sociétés infiniment meilleures s'il a le courage de regarder la direction des sociétés plus anciennes (…). Non pas pour revenir à l'homme des cavernes, mais pour apprendre de la générosité.

-Il y a deux fois la population, il y a deux fois la nourriture. Dommage que nous jetions 30%. Nous ne le donnons même pas aux chiens, encore moins aux pauvres. Telles sont les contradictions de notre civilisation. […] Jamais l'homme n'en a eu autant qu'aujourd'hui.

-Personne ne va nous donner la prospérité. La prospérité doit être gagnée et la liberté doit être combattue en permanence car c'est un combat pour une reconquête permanente.

-Il y a d'autres choses que la jeunesse. L'irrévérence de se regarder dans le miroir et de s'engager dans la réalité.

-J'ai mangé 14 ans à Cana (…). La nuit où ils m'ont mis un matelas, je me suis sentie à l'aise, j'ai appris que si vous ne pouvez pas être satisfait de certaines choses, vous ne serez pas satisfait de beaucoup de choses. La solitude de la prison m'a fait valoriser beaucoup de choses.

-Les choses fondamentales sont très peu nombreuses.

-Nous avons dû nous battre avec la folie, avec la peur d'être laissés seuls. Mais nous triomphons.

-Nous rasons les jungles, les vraies jungles, et nous implantons des jungles de béton anonymes.

-Je n'ai pas de vocation de héros. J'ai, oui, une sorte de feu à l'intérieur, surtout pour l'injustice sociale, la différence de classe.

-L'homme a besoin de la société, qu'il s'en rende compte ou qu'il ne s'en rende pas compte.

-Le progrès social est plein de verre brisé de ceux qui voulaient changer le monde.

-Rien ne vaut plus qu'une vie, lutte pour la réalité.

-Il me semble qu'il faut lutter pour la paix dans tous les coins de la terre, il me semble que la guerre est une ressource préhistorique.

-Le développement ne peut pas être contre le bonheur. Il doit être en faveur du bonheur humain […]. Le premier élément de l'environnement s'appelle le bonheur humain.

-Vous êtes avec la majorité, ou vous êtes avec la minorité, et il n'y a pas de juste milieu. Vous ne pouvez pas être neutre et vous devez prendre parti.

-Être libre, c'est passer le plus de temps de notre vie dans ce que nous aimons faire.

-La liberté est ici, sinon elle n'existe pas.

-Le personnel n'a pas de sens s'il n'est pas inspiré par quelque chose de collectif qui nous transcende et qui nous précède.

-L'humanité dont je rêve est celle dans laquelle quand je donne la parole, la parole est un document, et quand je serre la main, c'est un contrat.

-L'avancement de la société dans ses valeurs et son bien-être est un véritable progrès.

-En réalité, les meilleurs leaders sont ceux qui, lorsqu'ils partent, laissent derrière eux un groupe de personnes qui les surpasse de loin..

-Nous devons apprendre à intégrer la diversité qui existe dans ce monde.

-La guerre continuera jusqu'à ce que la nature nous appelle et rende notre civilisation inévitable..

-Il n'y a pas de but, il n'y a pas d'arc de triomphe, il n'y a pas de paradis qui nous accueille […]. Non, ce qu'il y a est autre chose, c'est la beauté de vivre pleinement, de vouloir la vie en toute circonstance, de se battre pour elle et d'essayer de la transmettre.

-Je ne regarde pas en arrière parce que le réel d'aujourd'hui est né dans les cendres fertiles d'hier.

-Nous sommes un peu obsédants, nous n'aimons pas trop travailler. Personne ne meurt de surmenage.

-Le vrai combat est d'apprendre à vivre ensemble sans attaquer les autres.

-Le monde ne doit pas être divisé en hommes, femmes, noirs et jaunes. Elle ne doit pas être divisée en deux secteurs: ceux qui s'engagent et ceux qui ne s'engagent pas, et s'engager, c'est embrasser une cause.

-Si j'avais beaucoup de choses, je devrais m'en occuper. La vraie liberté est de consommer peu.

-Personne n'est plus que quiconque.

-J'appartiens à une génération qui voulait changer le monde, j'ai été écrasé, vaincu, pulvérisé, mais je rêve toujours que cela vaut la peine de se battre pour que les gens puissent vivre un peu mieux et avec un plus grand sens de l'égalité.

-Ni les grands États nationaux, ni les transnationales, et encore moins le système financier, ne devraient gouverner le monde humain.

-Il faut respecter, surtout quand ça fait le plus mal.

-Nous sommes trop petits dans notre égoïsme naturel. Chaque être vivant se bat pour sa vie, mais élargir l'étreinte nous multiplie.


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