Je te laisse le meilleur Trente phrases uniques et fantastiques, Film mexicain avec Bárbara Mori et réalisé par Chava Cartas, sorti en 2016.
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-Je n'ai pas l'air d'avoir trente-cinq ans, et je ne suis pas non plus le genre de femme qui a besoin d'un homme d'à côté pour la définir et la valider dans le monde. -Agnes.
-Comme si tout ce que nous avons à apprendre dans la vie ne suffisait pas, en plus de cela, nous devons affronter le terrible problème de désapprendre ce que nous savions déjà et ne nous sert pas, de supprimer des fichiers précédents qui sont déjà devenus obsolètes. -Agnes.
-J'ai vécu ma vie, j'ai pris un engagement envers la mienne, et pourtant je suis de retour ici, au départ et prêt à réessayer. -Agnes.
-Le temps n'existe pas, il n'y a que ce qui se passe maintenant. -Agnes.
-Il s'agissait seulement, pensa-t-il, d'avancer un peu et de lui faire savoir que son attente était terminée et que ses prières et ses bonnes actions, après tout, avaient été récompensées; enfin, j'étais entré dans sa vie. -Agnes.
-Vous pouvez peut-être oublier sa ferme conviction que les chemises de super-héros sont le summum de l'élégance. -Agnes.
-Sans savoir à quelle heure ni comment, une sorte de jumeau maléfique a germé dans mon âme qui a entrepris la tâche de massacrer ma part la plus rachetable. -Agnes.
-À toutes fins pratiques, je suis devenu un haineux à part entière. -Agnes.
-Bien qu'en général je suis convaincu que je fais tout super bien et que je prends les bonnes décisions, il s'avère que soudainement l'angoisse m'envahit, je doute de mon propre jugement et je commence à remettre en question chacune de mes décisions. -Agnes.
-Vous voulez un partenaire, un complice et un auditeur, non pas pour qu'il puisse résoudre votre vie, ni vous la sienne, mais pour que vous puissiez tous les deux résoudre la vôtre et construire un projet commun en même temps. -Agnes.
-Au lieu de dire que mon truc, ce sont les risques et que cela ne me dérange pas de contester les conventions de temps en temps, la seule chose que j'ai réussi à combiner ce sac et ce sac était de ressembler au frère daltonien du clown Rabanito. -Agnes.
-Si le poisson savait à quel point c'est bon de rentrer à la maison la nuit, de serrer le vélo dans ses bras et de lui dire à quel point la journée est belle et difficile, peut-être qu'il se rendrait compte que sa vie, avec tout et qu'il s'amuse beaucoup avec son poisson. le réservoir est un peu vide. -Agnes.
-Avec un minimum d'attention, il est possible de deviner dès les premiers échanges à quoi est due l'unicité de la personne en face de nous, et il ne reste plus qu'à décider si nous pouvons ou non résoudre ou négocier ces raisons. -Agnes.
-Se retrouver en tant que femme est un privilège sensible. -Agnes.
-Au moment où je m'en suis rendu compte et que j'ai pu commencer à changer certaines choses, j'étais devenu ce que je jurais solennellement de ne jamais être: une femme dont la vie était traversée par le besoin pressant de se trouver un homme. -Agnes.
-À ce stade de votre vie, vous seul pouvez répondre avec efficacité si vous voulez un petit ami ou non, et si oui, pourquoi. - Agnès.
-Une partie du grand travail de grandir est de reconnaître que nous portons des enseignements et des discours qui ne sont pas les nôtres, et que nous les absorbons sans poser de questions, les mettons à l'épreuve et restons avec ceux qui nous servent, indépendamment de ce qu'ils diront. . -Agnes.
-Nous voulons qu'ils comprennent ce que nous voulons, alors que nous-mêmes ne sommes même pas très clairs à ce sujet..
-Plus tard, avec un peu de recul, de perspective et beaucoup d'analyse, j'ai réalisé qu'il y avait beaucoup de choses que j'avais inventées et que la chose n'était pas si grave, mais à ce moment-là (...) je pensais que ma famille me voyait comme une affaire perdue. -Agnes.
-Si j'ai négligé un peu, le monde entier a commencé à me donner le surnom horrible de "madame", et il ne serait pas possible de sortir avec la clarification, (...), se-ño-ri-ta, vous faites-moi la faveur. -Agnes.
-Les femmes devaient être intelligentes, sensées, pratiques, compatissantes, sans être trop emportées par la sentimentalité, et, bien sûr, elles devaient étudier et travailler. -Agnes.
-Quiconque me demande, je dis que je suis heureux. -Agnes.
- A trente ans, en revanche, vous vous retrouvez à utiliser les phrases de votre mère que vous avez juré de ne jamais répéter. -Agnes.
-Que voulons-nous de notre vie? Au-delà de ce que les autres attendent… A trente ans, vous n'avez plus à rester avec l'envie de faire quoi que ce soit! -Agnes. *
-Les bonnes décisions ne sont pas prises en état d'ivresse ou lors d'un mariage. -Agnes. *
-Mon histoire n'est pas ce genre d'histoire. Mon histoire ne se termine pas par un mariage. -Agnes. *
-C'est fini. Je vais recommencer. -Agnes. *
- Vivre sans compromis et sans liens a sa magie. -Agnes. *
-La liberté est audacieuse. C'est vivre sans peur. -Agnes. *
-Ni madame, ni mademoiselle. Je suis un mélange de ce que j'ai vécu à travers le monde, des gens que j'ai rencontrés, du bien et du mal que j'ai vécu. Chacun de nous a une histoire qui nous définit. Il n'y a pas d'homme pour ce que nous sommes. Nous le sommes, et cela me semble parfait. -Agnes. *
-Il n'y a que ce qui se passe actuellement. Le moment présent. Nous attachons une grande importance à nos dettes envers le passé ou le futur. Il n'y a que ça. Cette image exacte de la bande, pas la fin du film. Nous sommes toujours au milieu. -Agnes. *
-J'ai déjà une trentaine d'années. Et si c'était ma dernière chance? -Agnes. *
-C'est que je n'ai pas besoin d'être avec qui que ce soit. Qui m'a convaincu du contraire? Avec quel argument? -Agnes. *
-Ne me dis pas ça, et encore moins en ce moment que je pensais savoir ce que je voulais. -Agnes. *
-Ce qui compte vraiment pour moi, c'est que tu me manques. -Agnes. *
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