Je te laisse le meilleur citations de Les ponts de Madison, Œuvre littéraire de l'auteur de Waller Robert James, sur laquelle était basé un film du même nom réalisé par Clint Eastwood, nominé pour l'Oscar de la meilleure actrice par Meryl Streep, qui joue Francesca.
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-Francesca, penses-tu que ce qui nous est arrivé arrive à quelqu'un, ce que nous ressentons l'un pour l'autre? Maintenant, on peut dire que nous ne sommes pas deux, mais une seule personne. -Robert.
-Les choses changent. Ils le font toujours, c'est une des choses de la nature. La plupart des gens ont peur du changement, mais si vous le voyez comme quelque chose sur lequel vous pouvez toujours compter, cela devient réconfortant. -Robert.
-J'allais juste prendre un thé glacé et prendre du poids en vieillissant, mais cela peut attendre. -Francesca.
-Alors, voulez-vous plus d'œufs ou devrions-nous faire l'amour sur le sol une fois de plus? -Francesca.
-J'avais tort, Robert. Elle a tort, mais je ne peux pas y aller. Laissez-moi vous redire pourquoi je ne peux pas y aller. Dites-moi encore pourquoi je devrais y aller. -Francesca.
-Il me semble raisonnable que tout ce que j'ai fait dans ma vie me mène ici avec vous. -Robert.
-J'ai réalisé que l'amour n'obéira pas à nos attentes, c'est un mystère, c'est pur et c'est absolu. -Francesca.
-Les pommes argentées de la lune et les pommes dorées du soleil. -Robert.
-Je vais commencer à te reprocher de t'aimer pour combien ça fait mal. -Francesca.
-Vous devenez mère, épouse, et à ce moment-là, vous vous arrêtez et restez immobile pour que vos enfants puissent bouger. Et quand ils partent, ils emportent votre vie de détails avec eux. -Francesca.
-Ce n'est pas humain de ne pas être seul, et ce n'est pas humain de ne pas avoir peur. -Francesca.
-Je pense que les endroits que j'ai visités et les photos que j'ai prises au cours de ma vie m'ont conduit à vous. -Francesca.
-Vous me faites oublier ce que je vous disais. -Francesca.
-J'ai donné ma vie à ma famille, je veux donner à Robert ce qui reste en moi ... -Francesca.
-Qu'as-tu fait quand tu étais plus jeune? -Francesca.
-Apportez des problèmes. -Robert.
-Je porte un toast aux vieilles nuits et à la musique distante. -Francesca.
-Faites ce que vous avez à faire pour vivre votre vie. Il y a beaucoup de choses dont il faut se réjouir. -Francesca.
-Qui dirait qu'au milieu des ventes de pâtisseries, ma mère s'appelait Anaïs Nin? -Caroline.
-Robert, je vous en prie. Vous ne comprenez pas, personne ne le comprend. Quand une femme prend la décision de se marier, d'avoir des enfants, d'une manière sa vie commence, mais d'une autre manière elle se termine. Vous construisez une vie de détails. -Francesca.
-Je ne veux pas avoir besoin de toi car je ne peux pas t'avoir. -Robert.
-Les vieux rêves étaient de bons rêves. Ils n'ont pas fonctionné, mais je suis content de les avoir. -Francesca.
-Je veux t'aimer ainsi pour le reste de ma vie. Tu me comprends? Nous perdrons si nous partons. Je ne peux pas faire disparaître toute ma vie pour en commencer une nouvelle. Tout ce que je peux faire, c'est m'accrocher aux deux. Aide-moi à ne pas arrêter de t'aimer. -Francesca.
-Ne vous mentez pas, Francesca. Vous êtes tout sauf une femme simple. -Robert.
-Nous sommes les décisions que nous avons prises, Robert. -Francesca.
-J'avais des pensées à son sujet dont je ne savais pas quoi faire, et il les a toutes lues. Tout ce qu'il voulait, il s'est mis à y arriver, et à ce moment-là, toute ma vérité disparaîtrait. J'ai agi comme une autre femme, mais j'étais plus moi-même que jamais. -Francesca.
-Si tu veux que j'arrête, dis-le-moi. -Robert.
-Personne ne vous le demande. -Francesca.
-Ils sont rentrés à la maison. Et avec eux, ma vie de détails. -Francesca.
-Je ne le dirai qu'une seule fois. Je ne l'ai jamais dit auparavant. Vous n'avez ce genre de certitude qu'une seule fois dans votre vie. -Robert.
-Et tu saisis encore ma tristesse de la cacher dans ta poche, de me la prendre. Encore une fois, vous avez semé le jardin de mes cauchemars avec de nouveaux rêves, avec d'autres espérances. -Francesca.
-Parfois, j'ai le sentiment que vous êtes ici depuis longtemps, plus d'une vie, et que vous avez habité dans des lieux privés dont aucun d'entre nous n'a jamais rêvé. -Robert.
-En quatre jours, il m'a donné une vie entière, un univers, et a uni les différentes parties de moi en une seule. -Francesca.
-Je n'aime pas prendre les choses telles qu'elles me sont données. J'essaye de les transformer en quelque chose qui reflète ma conscience personnelle, mon esprit. J'essaye de trouver la poésie dans l'image. -Francesca.
-D'une certaine manière, les femmes demandent aux hommes d'être à la fois poètes et amoureux passionnés et déterminés. -Conteur.
-Vous me faites peur, même si vous êtes gentil avec moi. Si je ne me battais pas pour me contrôler quand je suis avec toi, je pense que je pourrais perdre mon centre et ne jamais le récupérer. -Francesca.
-Les analyses détruisent tout. Certaines choses, des choses magiques, sont censées rester dans leur ensemble. Si vous regardez ses pièces, elles disparaissent. -Francesca.
-Les choses complexes sont faciles à faire. La simplicité est le vrai défi. -Francesca.
-La réalité n'est pas exactement la façon dont la chanson la décrit, mais ce n'est pas une mauvaise chanson. -Francesca.
-Il y a des chansons qui viennent librement, de l'herbe parsemée de fleurs bleues, de la poussière de mille routes rurales. C'est l'un d'eux.
-Dieu ou l'univers, ou quelle que soit l'étiquette que nous choisissons pour ce grand système d'équilibre et d'ordre, ne reconnaît pas le temps terrestre. Pour l'univers, quatre jours n'est pas très différent de quatre millions d'années-lumière. -Robert.
-Alors me voilà, marchant avec une autre personne à l'intérieur de moi. Bien que je pense avoir fait mieux le jour où nous nous sommes séparés en disant qu'il y a une troisième personne que nous avons créée à partir de nous deux. Et je suis en admiration devant cette autre entité. -Francesca.
-Il y avait quelque chose qui continuait à s'introduire dans la réalité entre eux. Ils le savaient sans le dire. -Conteur.
-Il n'y était que quelques minutes auparavant; elle était là où l'eau avait coulé à travers son corps, et elle l'avait trouvé intensément érotique. Presque tout chez Robert Kincaid commençait à lui paraître très érotique. -Conteur.
-Francesca, je sais que tu avais aussi tes propres rêves. Je suis désolé de ne pas pouvoir vous les donner. -Robert.
-Tous les hommes ne sont pas pareils. Certains réussiront dans le monde à venir. D'autres, peut-être juste un peu d'entre nous, non. -Robert.
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